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Aujourd'hui, et de plus en plus, les propos de la presse me perturbent... et m'exaspèrent. Pour moi, le déclin de la presse et des "journalistes" fait partie d'un processus de pourriture au sein de la société. Depuis longtemps les Français embrassent le collectivisme et le syndicalisme, mais une sorte d'obsession... de fuite en avant vers l'autodestruction du pays a pris le dessus.
 
Les journalistes clament des beaux sentiments, sans jamais les remettre en question.
Et la déliquescence de l'identité du pays, la perte de nos mœurs, de nos habitudes, et de notre art de vivre aujourd'hui en France n'est pas une vue de l'esprit.

Ce n'est pas un accident non plus : les journalistes, les politiciens, les syndicalistes, et les "élites" de Matignon, de la Défense, et les expats de Londres ou de New York ils sont tous dans le coup – et applaudissent des deux mains.
Il n'y a pas de problème pour eux ! Ils approuvent la dégénérescence de notre pays.

Ils adoubent la mise à mort des valeurs, des coutumes, et de l'identité de la France.

Ils veulent plus de désordre, plus de vandalisme, plus de "casseurs" et de gens de mauvaises intentions pour faire peur et mettre la pagaille.

En effet, ils en bénéficient.

En occupant les Français avec des "polémiques" dans les médias – sur "les inégalités," par exemple, ou sur la "solidarité" – ils restent, eux, à l'abri des regards... avec le champ libre.

Ils montent les gens les uns contre les autres.

Avec l'appui de la classe des journalistes en France, ils réduisent au silence les opposants... ceux qu'ils considèrent comme les "ennemis du peuple."
Cependant, ce qu'ils ignorent, ou ce dont ils s'en fichent pour l'instant, c'est que le système va bientôt exploser, à cause d'eux ! Et je vous le démontrerai.

A force de conduire la France au bord du précipice, ils vont nous faire tomber.
Le problème, c'est qu'ils vont tout faire pour s'épargner eux et vous faire payer, vous.
Pour leurs erreurs. Leur avidité. Leurs méfaits et délits.

Voici ce dont je vous préviens :
Ils vont vous accuser d'être le problème... Ils vont vous mettre au pilori.
Vous extirper jusqu'à vos derniers centimes, vos derniers biens, votre sécurité, votre tranquillité d'esprit, et votre capacité de subvenir à vos besoins et à ceux de votre famille.

Vous les voyez ces journalistes de Canal+ ou bien de France 2 ? Ils vont vous traquer jusque dans la rue, dans les boulangeries, dans les kiosques juste pour se moquer de vous.

Regardez-les vous montrer du doigt dans leurs reportages à deux francs, en vous faisant passer pour des rétrogrades : "C'est eux ! Les ennemis du peuple! Les traîtres ! Les vieux chnoques !"
Je suis certain que vous avez déjà vu cela.

Et que vous comprenez pourquoi je ne lis plus les journaux, et ne regarde plus les infos à la télé, sans m'attendre à être dégoûté par les biais fulgurants et la mauvaise foi flagrante de ces prétendus "journalistes."

Cela étant dit, ils ne sont pas aussi malins qu'ils le pensent. Tout ira bientôt très mal pour eux aussi.
Tout le monde va être touché.

Cependant, vous pouvez encore prendre des mesures de précaution. Et c'est la raison pour laquelle je vous écris aujourd'hui.

Voyez, les médias n'en disent rien.

A la place, les journalistes défendent et justifient les décisions de l'Elite.

Politiques. Médias.Banques : tous font partie de la même bande.

Par exemple : le but d'un journaliste, c'est d'avoir la reconnaissance de ses pairs.

Son ambition est d'être récompensé par la fratrie des journalistes, quelle qu'en soit la manière :
Cela peut être en étant invité sur des plateaux pour faire la promotion d'un livre, ou bien en faisant carrière grâce à des discours rémunérés, à l'instar des Thomas Piketty ou Paul Krugman.
Et, pour cela, ils ont besoin de remonter les gens les uns contre les autres – de les mettre en colère.

De les faire descendre à la rue. Ils appellent cela : "contribuer au débat public".

Mais au fond, ils soufflent sur les braises, et sont les premiers à justifier les cassages, le pillage et la délinquance. Et la cible, presque toujours, c'est vous.

En effet :
Vous n'avez pas fait assez d'efforts pour "intégrer" les opprimés de la société...
Vous n'avez pas accueilli la diversité comme un cadeau.
Vous êtes égoïste... intolérant... rétrograde... conservateur !
N'est-ce pas ce qu'ils disent tout le temps ?

Si vous avez réussi, c'est que vous avez dû faire quelque chose de louche.

Si vous gagnez plus qu'eux, les bien-pensants, c'est que vous êtes forcement malhonnête.

C'est ce qu'ils disent.

Et c'est ce qu'ils diront, lorsque le système leur explosera à la figure.

Et cela peut arriver d'ici peu.

Je vais vous montrer sans plus attendre ce que les médias ne vous disent pas...

Et vous allez vite comprendre que s'ils n'évoquent pas ces problèmes, s'ils préfèrent, au lieu de cela, vous montrer du doigt, c'est qu'ils savent déjà que c'est vous qui allez payer l'addition...

La faille dans le système.

A l'instar des journalistes, les banquiers et les financiers, eux aussi, ne font qu'un avec les autorités.

Après la crise de 2008, la BCE a, grosso modo, garanti TOUTES les dettes des banques.
Les banques ne feront plus "faillite," assurent-ils.
En cas de problème, la BCE prend les choses en main "Whatever it takes..." autrement dit "quel qu'en soit le prix" - d'après le chef de la BCE, Mario Draghi.
Rien ne saurait faire plus plaisir à un financier.
Il peut faire des emprunts à tour de bras, prendre tous les risques : Mario Draghi les sauvera. Si l'emprunteur paye, il y gagne. Si l'emprunteur n'arrive pas à payer, la BCE sauve la mise. Et le financier garde tout de même les primes et bonus pour les "frais de la transaction..."

Pile il gagne. Face il gagne encore.

Les banques ne peuvent pas perdre. C'est inscrit dans la règle du jeu.

C'est ce qui est arrivé en 2008, après tout.

Après la dégradation de la situation au sein des banques, les autorités en France ont créé une "Société de refinancement" sous le contrôle d'ex-membres du FMI, chargée de fournir du cash aux banques, avec une capacité de 320 milliards.

Les banques en ont profité pour liquider des milliards d'euros d'actifs au moment de la crise.
De surcroît, la BCE a appliqué une politique dite de taux bas, pour "relancer l'économie".
Autrement dit, elle a irrigué le marché de liquidités... inondé les banques de cash.

Mais l'opération n'a pas créé de richesse... elle a simplement formé une bulle de liquidité.
Autrement dit, les mesures de nos dirigeants ont créé les conditions d'une prochaine crise, et le "déclencheur" de cette crise, selon moi, pourrait frapper en septembre.

Même le journal le New York Times voit le problème.

Un article de décembre 2016 explique :
"...les autorités à la Fed ont d'autres soucis [que le niveau de l'inflation]. En particulier, ils craignent de créer de futures crises financières.
"Les taux d'intérêts faibles étaient censés encourager la spéculation financière.
"Mais trop de prise de risque ne produit pas de bons résultats. Plus longtemps les taux restent à ras du plancher, plus les risques augmentent."
La Fed – et la BCE – surveillent la situation... mais en général les éléments déclencheurs de crise se développent en dehors de leur de champ de vision...

Le New York Times ajoute : "Après tout, chaque nouvelle crise vient en général d'un secteur autre que la crise précédente..."

Lorsque la Réserve fédérale ou la BCE facilite l'accès aux liquidités – avec des baisses de taux, ou avec la mise en place de "banques de refinancement" –, les risques dans le système augmentent.

Dans l'immédiat, les interventions "stabilisent" les choses.

A terme, cependant, les créanciers font plus d'emprunts, mais exercent moins de retenue, et font moins attention à la qualité des emprunteurs... et à leur capacité à rembourser.

Lorsque le marché actions a atteint un record, comme c'est le cas en ce moment... après près d'une décennie de croissance et que tout à coup un événement "imprévu" fait son apparition.
alors, la situation dérape à toute vitesse.

Les autorités réagiront sans doute en force, comme en 2008.

Mais ils n'auront pas assez de recours cette fois-ci pour lutter contre une nouvelle crise.
Après tout, les banques n'ont pas encore remboursé le cash que l'Etat leur a prêté, et lorsque le système subira un nouveau choc... et lorsque les actions en bourse, les obligations, et l'euro piqueront du nez en même temps alors les autorités n'auront peut-être pas 320 milliards d'euros à distribuer aux banques.

Même avec tout l'arsenal de la BCE, ou de la Banque d'Angleterre, ou de la Réserve fédérale,  arrivera un moment où il faudra payer l'addition.

Le risque d'effondrement du marché actions.

Le marché-actions grimpe depuis 9 ans.

Il a bénéficié du soutien de la BCE et de la Fed tout du long.

Mais personne ne regarde plus les fondamentaux du marché.
L'investisseur et milliardaire Paul Tudor Jones a alerté d'une bulle en février.

Il écrit, en février 2018 :
"Le monde de la finance entre à nouveau dans le scénario de bulle. La Réserve fédérale a désormais lancé les dés."

Le marché actions a bénéficié de la baisse des taux directeurs depuis près de 10 ans.
Mais que se passera-t-il lorsque les taux remonteront ?

Lorsque les taux baissent, des liquidités entrent dans le système. Elles gonflent la valorisation des actifs – des actions en bourse, des obligations, et de l'immobilier.

A l'inverse, lorsque les taux grimpent, les liquidités quittent le marché.

 
Et, du coup, les prix baissent mécaniquement.
Le marché de la dette fait 3 fois la taille du marché actions.
Les obligations comptent pour 233 000 milliards dans le monde.

A côté, les actions en bourse comptent pour "juste" 73 000 milliards environ.

Oui, les marchés actions font plus souvent la une des journaux...

... mais les obligations ont beaucoup plus d'impact sur la santé des économies et des actifs.

Début février 2018, elles ont causé un chaos dans les marchés... Les investisseurs ont pris peur de l'inflation – et de l'impact sur les marchés du crédit.

L'indice de volatilité VIX a fait un bond de 400% d'une séance à l'autre. (et n'a toujours pas réatterri au moment où j'écris ces lignes...)

Et la BCE attend juste le signal... Elle rachètera en cas de problème des obligations à tour de bras.

Comme après 2008.

Les journaux demanderont plus d'intervention. Plus de graisse pour le rouage de l'économie. Plus d'argent... l'ouverture des "vannes" à la BCE.
Et voici la "faille" du système aujourd'hui : L'économie ne peut plus corriger

Le marché ne peut plus enregistrer le moindre repli.
Les autorités le dopent et le stimulent. Le patient va déjà mal et elles le poussent de plus en plus à bout. Mais un jour ou l'autre, la situation dérapera.
Et les médias et les politiciens n'en verront pas le sens.
Ils ne remettront toujours pas en cause les interventions et manipulations de l'Etat.
Ils augmenteront le volume des discours sur les "inégalités, et, en effet, les inégalités grimperont au plafond.
L'élite siphonnera dans la foulée encore plus des ressources du pays.

Eux, ils ne dépendent pas de "l'entrepreneuriat" pour gagner leur vie.

Ni du commerce. Ni de la création d'entreprise.

(Les journalistes, du coup, n'auront sans doute pas de récriminations envers eux.)

A la place, les élites useront du pouvoir de la BCE.

En effet, la BCE dispose d'une planche à billets et elle remplace l'effort l'épargne et la responsabilité – par de la création d'argent à partir de rien.

Voici la source de la "pourriture" au sein de la France aujourd'hui :

Le système d'aujourd'hui ne rémunère plus le travail et l'épargne. A la place, il rémunère la domination par la politique. La proximité avec le pouvoir. Avec l'autorité. Et, surtout, l'accès à l'argent de la BCE avant le reste des gens dans le pays.

L'argent de la BCE profite avant tout à une poignée de "personnalités connectées."

Les gens au sommet des rangs de fonctionnaires de l'Etat... les diplômés de l'ENA ou de Polytechnique dans les coulisses de Matignon et de l'Elysée.

Ceux en costume-cravate dans les banques et les boîtes de finance à la Défense, à la City de Londres, ou à Wall Street, une bande de profiteurs.

Ils ont le soutien de la BCE. Rien ne peut leur arriver.

Vous, par contre, devez travailler pour gagner de l'argent pour financer une retraite, ou soutenir une famille. Mais pas eux ! Ils ont tout ce qu'ils veulent grâce à la planche à billets.

Et qui paiera lorsque tout ça leur sautera à la figure ? Pas eux non plus !

 

C'est vous, et vous seul, qui paierez. Tout le monde le sait.
Un homme à Paris dit stop.
Il habite à Paris. Et il travaille avec moi, dans les bureaux des Publications Agora, près d'Opéra.

Depuis 30 ans, il suit les prix des actions en bourse de jour en jour, et de semaine en semaine.
Il écrit depuis 15 ans pour une poignée de lecteurs, au sujet des placements en bourse, mais aussi sur les liens entre la politique, la géopolitique et la finance.

 

Il s'appelle Philippe Béchade.

Il ne fait pas partie du monde des journalistes, ni des médias.
Il ne fait pas partie des conseillers en bourse de la Défense ou de Bercy.
A l'inverse des journalistes et médias, il ne cherche pas à endoctriner ses lecteurs avec une idéologie...

Il n'attaque pas la différence d'opinion sur Macron... Poutine... ou encore Trump.
Il ne joue pas la récrimination.
En fait, il ne fait presque pas attention aux médias.

Il a depuis longtemps repéré l'arrogance et l'ineptie des membres de la presse en France.
Depuis des années, Philippe fait opposition aux non-sens et désinformations de la presse.
Il garde les yeux sur les faits et les chiffres.

Il ne change pas d'idées et d'opinion selon les hystéries des journalistes.
Il produit presque un "antidote" au monde des médias et de la presse.
Il garde surtout à l'esprit les défis et les préoccupations des gens comme vous et moi.

Du coup, il ne gagnera pas de prix de journalisme dans les cercles de l'Elite.

Cependant, il aide des milliers de gens – un "club" de lecteurs partout en France – sur les questions de placement, d'argent, et de patrimoine.

Il insiste aujourd'hui : En septembre 2018, ou avant, une vague de "remous" sur les marchés chamboulera beaucoup, beaucoup de choses dans le pays.
En effet, le programme de rachats de la BCE – au rythme de 30 milliards d'euros d'obligations par mois – prend fin en septembre 2018... et Draghi n'a pas signalé le renouvellement du programme après l'échéance de septembre.

Philippe, d'habitude, cloître l'accès au "club" de lecteurs, mais, en vue des événements sur l'horizon, il ouvre aujourd'hui les portes à plus de Français qu'auparavant.

Il a même engagé une conversation mensuelle avec ses lecteurs, dans une lettre intitulée :
Béchade Confidentiel.

 
Béchade Confidentiel propose un éclairage sur les raisons de la déliquescence du pays... des conseils sur les placements pour les particuliers et offre en particulier des mesures de préparation au choc de 2018.
Au fil des années, les conseils de Philippe ont bénéficié encore et encore aux lecteurs de notre réseau
Depuis le lancement du service Béchade Confidentiel en juin 2017, Philippe a par exemple conseillé aux lecteurs des paris sur le marché de la Russie... et sur des concurrents du groupe Amazon en Europe...

Et plusieurs des positions de Philippe ont battu le CAC 40 de plus de 10 fois dans l'intermittence...
... mais, même avant le lancement de Béchade Confidentiel, Philippe avait déjà émis nombre d'alertes et de conseils au fil des années... au profit des lecteurs du groupe.

Par exemple, en début de l'année 2008, aux débuts de la "crise des subprimes," beaucoup de gens envisageaient déjà un rebond pour le marché actions après la volatilité de 2007.

Le site Capital.fr, par exemple, recommandait, en janvier 2008, l'achat de LVMH... (le cours a ensuite chuté de 40% avant la fin de l'année...)

 

Le site conseillait aussi l'achat de Société Générale... Juste avant l'effondrement des cours de la plupart des banques...

"[Nous] anticipons un rebond sur le titre," écrivaient-ils...

"Sachant que la capitalisation boursière de Société Générale est à peine supérieure à ses capitaux propres, on mesure le potentiel de rattrapage du titre."

Cependant, Société Générale a perdu 79% durant le reste de l'année... (et, 10 ans plus tard, l'action n'a toujours pas remonté la pente...)

Philippe Béchade, lui, recommandait la prudence...

En janvier 2008, il écrit ceci :
"Le CAC 40 risque de décrocher de -17% ! La formation d'une splendide figure dénommée "tête/épaules" [apparaît], ce qui nous donne un objectif de 4 340 points !
"Aïe, la chute fera mal : -17% et nous atteindrions alors le plancher d'octobre 2005."
En effet, le CAC 40 a dérapé et a même chuté sous le plancher de Philippe.

Puis, en début 2009, l'optimisme revenait à la mode...

Mais Philippe n'y croyait pas pour le CAC 40.

Il écrivait alors :
"Le scénario de la reprise en V est une imposture économique et intellectuelle [pour le CAC 40]..."
"Prétendre que le marché parisien n'est pas cher même au-delà des 3 300 points est spécieux car ce sentiment ne repose que sur l'anticipation d'une croissance de 30% des profits en 2010 et 2011."
Il a eu raison. Le marché n'a rien gagné entre janvier 2009 et juillet 2013... soit une période de 3 ans et demi...

Mais Philippe n'a tout de même pas évité à 100% les actions à l'époque... et quand le marché a repris, les lecteurs ont participé aux gains.

Philippe conseillait par exemple l'action Schneider Electric, le 24 décembre 2009...

"Schneider Electric se distingue de la majorité des autres valeurs qui 'montent avec la marée," écrivait-il.

L'action a ensuite pris jusqu'à 71%... le double de la performance du CAC 40...

Ensuite, le 8 janvier 2010, il avisait d'un signal de hausse sur le pétrole... avec une cible de 92 $ avant la fin de l'année...

En l'occurrence, la prédiction de Philippe a tapé dans le mille... avec le prix du baril de pétrole à 91,38 $ le 31 décembre 2010...
   
 
En 2010, Philippe a averti de 4 tendances émergentes.
D'abord, il a alerté de la bulle dans les actions en Espagne.

Il écrivait, en mars 2010 :

"Les caisses de l'Etat espagnol sont vides, le déficit public atteint déjà le taux record de 11,4% et flirte avec celui de la Grèce (-12,7%)... et la péninsule Ibérique est plongée dans une récession dont elle ne voit pas la fin.

"Tout comme l'avenir des places boursières se lisait dans l'évolution des banques de l'automne 2007 au krach final de l'automne 2008, celui de l'Ibex 35 se lit dans le gonflement démesuré et irréversible de l'endettement de l'Etat espagnol."

L'Ibex 35 a par la suite cédé 40% sur 3 ans...

Depuis l'alerte de Philippe, à aujourd'hui, 8 ans plus tard, les investisseurs enregistrent encore une perte de 13% sur l'Espagne...

Peu après, Philippe a de nouveau mis en garde contre les placements sur le CAC 40... juste avant une période de 3 ans de stagnation...

Et, malgré l'enthousiasme pour la Chine à l'époque, il a pris parti contre le marché de Shanghai dans un message du 21 octobre 2010...

Le marché de la Chine fait l'expérience d'une "spirale haussière assimilable à la formation d'une bulle," écrivit-il, "avec une disparition totale de l'aversion au risque et une foi inébranlable dans la poursuite de l'appréciation des cours."

L'agence de notation Moody's donnait alors une note favorable à la Chine...

"La Chine n'a pas le problème de la déflation émergente qu'ont certains des pays avancés," disaient-ils.

Malgré les arguments de Moody's, le marché de Shanghai a ensuite perdu environ 30% en 4 ans...

Philippe recommandait plutôt le marché de Tokyo...

Il écrivait le 7 octobre 2010 :

"Après un second test du seuil des 83, le yen pourrait amorcer sa décrue et favoriser un retour en grâce des valeurs japonaises.

"Le Nikkei ne va pas tarder à combler son retard..."

Le conseil de Philippe sur le marché de Tokyo a porté fruit, année après année, depuis 2010...
... pour un gain de 144% avec l'indice Nikkei...
 
Et en 2011, les indicateurs de Philippe pointaient enfin au vert pour le CAC 40.
Le 5 août 2011, il a émis une recommandation sur le CAC 40 :

"Il faut acheter maintenant !

"Les occasions d'acheter des 'actions qui sont ridiculement bon marché' foisonnent..."

Et en effet, le CAC 40 a ensuite entamé une ascension de 66%...

Par la suite, il recommandait l'achat de l'action Air France-KLM en juin 2012 à 3,35 euros, pour des gains de jusqu'à 290%...

Le 15 septembre 2014, il recommandait de se tenir à l'écart de EDF, malgré l'attrait que constituaient les 5% de dividendes...

Les lecteurs ont ainsi évité un effondrement de 57% du titre... (en partie car le dividende a baissé de moitié !)
En mars 2015, il déconseillait le DAX, l'indice du marché boursier allemand... (l'indice a chuté de 30% par la suite, et est revenu à peine au même niveau depuis...)

Par ailleurs, Philippe a aussi sonné l'alerte sur l'émergence de risques en géopolitique.

En mi-2014, par exemple, les Etats-Unis ont surpris tout le reste du monde avec une amende de 10 milliards de dollar sur BNP-Paribas...

Pour Philippe, l'affaire présageait une offensive des Etats-Unis contre les banques en Europe...

"Le clouage de BNP-Paribas fera jurisprudence et n'importe quelle autre banque qui aura commis les mêmes 'méfaits' pourra être tondue bien ras par la justice américaine," expliqua-t-il.

Et, en effet, les Etats-Unis ont redoublé les contrôles sur les banques partout dans le monde, sans préoccupation pour les frontières des pays...

En 2016, ils ont par exemple appliqué 1,3 milliard de dollars d'amendes... sur des banques en Suisse... !

Philippe analyse et anticipe les mouvements sur les marchés depuis longtemps.

Mais il ne recherche pas la célébrité.

Aujourd'hui, il ne partage presque plus de recommandations avec le public... mais travaille à la place pour une poignée de lecteurs dans le cadre de son service Béchade Confidentiel...

 
D'où le message d'aujourd'hui.

D'ici peu, une grande partie du marché-actions pourrait entrer dans une spirale de destruction... et voici pourquoi !


Une poignée de "géants" dans l'informatique domine aujourd'hui le paysage du marché actions.

Le "top 5" dans le monde vient des Etats-Unis, et en particulier du domaine de la technologie :
Microsoft, Apple, Amazon, Facebook, et Alphabet (la maison-mère de Google).
Ils ont capté, plus que tout le reste, l'afflux de liquidités dans le marché.

Mais lorsque les liquidités cesseront. Alors, les prix des actions baisseront.


Et, comme ils représentent des capitalisations colossales sur le marché, ils ont d'autant plus de risque de chute.

Sans le moteur du secteur de la tech, les marchés actions perdront tout à coup beaucoup, beaucoup de valeur. Les investisseurs quitteront le navire. Tout chutera.

Les actions. Les obligations. L'immobilier. Le dollar. L'euro.

Et avec en plus la mise en route de la planche à billets – réponse des autorités à la crise – le pouvoir d'achat des gens partira en fumée.

En bref : les actifs chuteront... beaucoup... et la masse monétaire augmentera... beaucoup.

En conséquence, l'argent vaudra de moins en moins.

Au final, nous assisterons à une vague de faillites... à l'instar de 2008... mais sans le "coup de frein" des autorités.

Les "munitions" de la BCE – les réserves – auront de moins en moins d'effet sur la situation...

En bref, tout le monde y laissera des plumes.

Cependant, certains minimiseront les dégâts... et trouveront peut-être même des opportunités de profits. Ici et là.

 
Philippe Béchade, par exemple, recommande aujourd'hui une poignée d'actions en bourse... (plus de détails dans une minute...)
Le "piège" de la stabilité.
Quand le marché grimpe encore et encore... pendant aussi longtemps... alors le retour en arrière – la chute – balaye tout.
Pensez à un élastique.

Plus vous l'étirez, plus la force de résistance est grande.

L'Energie s'accumule dans l'élastique.

Jusqu'au moment où un "choc" libère l'énergie.

La BCE a tiré encore et encore sur l'élastique.

Et la conséquence surgira bientôt.

En effet, le système d'aujourd'hui a grandi et prospéré avec une baisse des taux d'intérêts, d'année en année, pendant 4 décennies.

Une génération de gens atteint aujourd'hui la quarantaine, mais n'a jamais connu de taux d'intérêts en hausse !

La hausse des taux aura des répercussions partout – sur l'accès au crédit... sur les facilités d'achat ou de vente d'une maison... sur la valeur de l'immobilier... et sur la santé des entreprises.

Mais la plupart des gens n'y prêtent pas attention.

Ils n'y prêtent pas attention parce qu'ils pensent que ce que les médias ne disent pas... n'existe pas !

Mais vous, qui lisez ce message, vous savez... vous les voyez ces signes annonciateurs :

Le déclin de la culture... l'empoisonnement des relations entre les gens dans la société... la chute du niveau d'éducation... la dégradation des liens, de la confiance entre les gens.

... le choc détruira sans doute les restes du "maillage" de la société.

Les gens descendront dans les rue.

Des manifestations paralyseront les villes.

Ils bloqueront les routes, les trains et aéroports.

En gros, les gens perdront la tête.

L'Etat aujourd'hui administre plus d'une trentaine de programmes d'aides et d'allocations... de la RSA... aux allocations de logements... à la "prime de retour à l'emploi."

Quand les chèques ne viendront plus, les journalistes n'appelleront pas au calme.

 
Ils prendront plutôt le parti des "casseurs" et autres... !
Le tout appelle à la précaution... à la préparation... et à la protection.
Les écrits de Philippe remettent un peu d'ordre dans les choses... mettent en lumière les zones d'ombre de la presse mainstream et proposent des solutions là où l'Etat vous laisse sans aucune défense.

Philippe Béchade travaille avec moi, à Paris.

Il surveille de près les marchés. Il garde les lecteurs au courant des informations essentielles – et alerte les gens de l'émergence des problèmes ou des dangers.

Dangers comme l'effondrement des institutions – des banques, des assureurs, et des boîtes de finance – dans tout le pays. Les gens aujourd'hui n'ont plus l'expérience des périodes de crise...
Ils ne connaissent pas les replis sur la durée.

Les crises de 2000 et de 2008, par exemple, n'ont pas duré longtemps.

Dans les années 1970, cependant, le monde a traversé une période de crise de 10 ans.
Tout du long des années 1970, l'économie n'a pas fait de progrès. Des émeutes et manifestations ont explosé en 68.

L'inflation a frappé. L'économie a stagné. Les usines ont licencié les ouvriers.

Cette crise n'a pas duré 6 mois ou 1 an... mais 10 ans au total !

Dans les années 1970, les gouvernements ont tenté le protectionnisme et l'intervention dans l'économie. Le stimulus.
La Grande-Bretagne a dévalué la livre sterling. Les Etats-Unis ont aboli le lien entre le dollar et l'or.

Quand la valeur de l'argent vacille, les économies souffrent.

En début des années 1980, la monnaie a retrouvé pied.
La Banque de France a soutenu le marché de la dette, à l'instar de la Fed.

Et ainsi, malgré l'émission de beaucoup, beaucoup de dette sur près de 40 ans, les taux d'intérêts ont baissé d'année en année.

Et les taux ont ainsi renfloué l'économie.
Ils ont financé les géants de la Silicon Valley, et les banques de la Défense.
Ils ont payé pour les startups. Et pour les programmes des Etats.
Ils ont payé les factures des entreprises, en l'absence de profits.
La facilité d'accès aux crédits a infiltré à peu près la totalité de l'économie.

... des comptes en banque, à la bourse, à l'immobilier, aux entreprises.

L'accès aux crédits encourage la dépense... l'expansion.

A l'inverse, la hausse des taux poussera à la frugalité, à la contraction, à la réduction de risques. A la recherche de la sécurité.

Bref, la hausse des taux transformera le paysage de l'économie.
Adieu, l'ère des valorisations de milliards d'euros pour des startups ou des applications.
Adieu aussi, peut-être, aux géants de l'informatique d'aujourd'hui, comme Amazon, Facebook ou Google.
Les crises et les chocs emportent parfois les "gros" sur le marché.

 
Les turbulences dans l'économie pendant les années 1970, par exemple, l'ont fait.
 
Pendant les années 1970, plusieurs des "grands" de l'époque – en France et aux États-Unis– se sont tout à coup heurtés à un mur...
L'automobile, l'informatique, et surtout les banques ont pris des coups pendant la période de stagflation des années 1970.

Même Warren Buffett, de chez Berkshire Hathaway, a presque abandonné l'investissement pendant les années 1970.

De 1969 à 1974, il a fait une "pause" en raison du manque d'opportunités.

Les conditions ne favorisaient pas la croissance ni l'augmentation des prix des actions.

De plus, l'inflation détruisait la valeur de l'argent et des taux d'intérêts de plus de 10% décourageaient l'expansion, les créances.

En France, François Mitterrand a remporté les élections avec un appel aux nationalisations dans l'industrie et dans la finance.

En 1982, il a en effet passé beaucoup de banques sous tutelle de l'Etat.

Dans les années 1980, le monde a changé de direction. Avec la baisse des taux, nombre d'entreprises ont bénéficié de rachats et de restructurations, à l'aide d'emprunts.

Par la suite, les taux ont poursuivi la baisse... et les prix des actions en bourse ont entamé une hausse... jusqu'à aujourd'hui.

La "stagflation" des années 1970 a disparu dans le rétroviseur.

Même l'Angleterre, après une crise de la Livre Sterling, après "l'hiver de mécontentement" de 79, après les grèves et manifestations... et après des coupures de courant pour cause de manque de pétrole... a retrouvé le chemin de la croissance.

Au fil des années, depuis lors, beaucoup de gens ont redouté l'hyperinflation.

Cependant, l'hyperinflation n'a jamais frappé, malgré de plus en plus de dettes, de dépenses, de créances, et d'argent en circulation.

La baisse des taux a allégé le fardeau des dettes, et facilité le re-financement des obligations.

Elle a poussé les actifs à la hausse.

Elle a facilité l'accès des particuliers au crédit... aux biens de consommation... et à l'achat de logements.

En comparaison aux marchés actions, les taux d'intérêts font moins souvent la une des journaux...

Cependant, ils affectent tout.

La hausse des taux réduira la facilité de la consommation à crédit.

Elle entraînera des changements de long en large de l'économie... des agriculteurs, aux bâtisseurs, aux banquiers, aux assureurs.

En particulier, les "géants" de la tech... comme Amazon, Microsoft, ou Google, ont bénéficié de l'ère de la baisse des taux d'intérêts.

Ainsi, ils ont pris de plus en plus de taille... de plus en plus d'ampleur.

Ils contrôlent aujourd'hui le milieu de la tech.

Apple compte aujourd'hui 80 000 employés.

Microsoft en a 124 000.

Facebook en compte 25 000.

Amazon, 566 000.

Cependant, les "géants" de la tech pâtiront.
Car la hausse des taux défavorise l'agglomération, la taille.
La fin de l'hégémonie des "géants" de la tech.
Les "grands" de la tech ont bénéficié depuis des années de la baisse des taux d'intérêts... et de la facilité d'accès aux capitaux.

Par ailleurs, ils ont bénéficié de la hausse de la consommation, de l'essor du commerce en ligne... et de l'engouement des investisseurs pour la croissance, à la place de profits.

Jeff Bezos, par exemple, arrive en tête du classement des milliardaires, avec une fortune de plus de 100 milliards de dollars.

Il a créé le géant du e-commerce, Amazon.

La croissance d'Amazon a bénéficié d'une convergence de choses dans l'économie – le développement de l'Internet, l'essor des smartphones et des applications mobiles, et l'intérêt des internautes pour les commandes en ligne.

En plus, Amazon a bénéficié de l'accès aux capitaux des marchés.
Ainsi, le groupe a mis au point un réseau de traitement des commandes et de livraison... et a concurrencé les supermarchés, librairies, et magasins pour la vente de produits.

Cependant, malgré tant de "succès," Amazon n'a jamais généré de profits avec la vente de biens en ligne.

Amazon génère maintenant des marges, mais ces marges viennent surtout de la branche de services aux entreprises "Amazon Web Services..." et le coût de l'action Amazon arrive à 256 fois les profits du groupe sur un an !

En bref, l'essor d'Amazon repose surtout sur la bonne santé du marché actions... et de l'engouement des actionnaires pour des entreprises "-techs".

Sans l'optimisme du marché actions, le prix de l'action Amazon baissera.

Avec des taux en hausse, les marchés auront moins d'optimisme... et moins d'illusions sur la croissance des entreprises.

Tout à coup, Amazon vaudra beaucoup moins.

"Les marchés font l'opinion," dit le proverbe.

En période de difficulté, la croissance diminue... et les investisseurs prennent peur.

Les actionnaires, tout à coup, réclament les marges et les revenus... Ils veulent la sécurité, au lieu de l'expansion.

Le prix d'Amazon, aujourd'hui, reflète un "potentiel de croissance," mais peu de revenus et de profits.

Donc : la hausse des taux défavorisera beaucoup Amazon et autres.

Les actionnaires voudront les profits, la sécurité, la rentabilité.

Les autres – Apple, Facebook, et Google, par exemple – dépendent moins de la santé du marché... car ils dégagent déjà des milliards de dollars de profits par an.

Cependant, même là, les prix des actions en bourse doivent beaucoup à l'engouement des actionnaires pour la croissance et pour la tech.

En cas de ralentissement, les prix des actions baisseront aussi.

Chez Alphabet, par exemple, les actionnaires demanderont sans doute la réduction des dépenses sur "GoogleX," le laboratoire de recherches de Google, et sur Youtube, la chaîne de vidéos en ligne.

En effet, à part le moteur de recherches Google, les autres branches de chez Alphabet Inc. ne génèrent pas de profits mais consomment beaucoup d'argent.

Les projets GoogleX, en particulier, ont coûté environ 3,56 milliards de dollars en 2015.

En cas de déroute, les actionnaires demanderont sans doute la re-concentration sur le "coeur" de l'entreprise, le moteur de recherches.

De même, Facebook tire des revenus de la vente de publicités sur le site.

Cependant, le groupe poursuit nombre de projets et d'initiatives d'expansion à la marge.

 
En bref, les "géants" de la tech aujourd'hui subiront de sérieux revers en bourse... et le choc remettra en cause le modèle du monde de la tech aujourd'hui.
Philippe étudie de près la convergence des risques en cours entre la tech... et les taux d'intérêts.
Philippe Béchade a une spécialité pour l'étude des actions en bourse... et le choix de placements.

Il suit à la loupe l'émergence de tendances... l'apparition de risques... et les opportunités d'investissement.

Cependant, le message d'aujourd'hui ne concerne pas un service de trading... ni un livre sur les cryptomonnaies ou une action en bourse.

Philippe a presque toujours une longueur d'avance sur les événements.

Il donne aux gens une alternative aux voix des médias et des journalistes.

Il n'aspire pas à se faire inviter sur tous les plateaux télé.

Il remet souvent en cause les propos des médias et des journalistes des plateaux télé.

Il n'a pas peur des faits...

Et il a un devoir envers les lecteurs – d'information, de transparence, et de clarté.

Il ne prend pas en considération la police du langage des journalistes.

A la place, il travaille dans l'intérêt des lecteurs... surveille les risques pour les patrimoines et l'épargne... et signale des opportunités.

Les médias ne parlent jamais de préservation du patrimoine. Ils ont peu de sympathie pour les détenteurs de fortunes ou d'épargnes.

En général, ils soutiennent plutôt des mesures de confiscation, de taxation, et de nationalisation des biens des particuliers.

Par ailleurs, les médias font toujours dans le spectaculaire... dans la politique de bas étages... dans le pathos... dans les rancunes et les revendications.

Ils font surtout dans l'idéologie.

En gros, ils font du "spectacle pour les masses."

Philippe ne fait pas la morale aux gens comme vous et moi... et n'appelle pas à la nationalisation des épargnes ou des entreprises.

Pour lui, la majorité des informations "de masse" dans les médias ne servent à rien du tout.

Pire, les médias cachent l'essentiel des sujets... refondent les événements et les faits en récits... et réaffirment les biais d'une partie de la population.

Ils camouflent la réalité... et brouillent les conclusions.

Dans Béchade Confidentiel, Philippe décrypte l'actualité dans les médias.

A la différence de beaucoup de gens – et de conseillers en bourse –, il n'adopte pas le point de vue du "mainstream" sur les questions de fond, dans l'économie ou les marchés.

En bref, il propose un changement d'approche par rapport à la presse, et aux journalistes.

Il prend toujours le parti du lecteur... du particulier... contre l'opinion "de masse," des médias.

Par ailleurs, à la différence des conseillers en investissement – les financiers en costume-cravate de la Défense – il ne demande pas des "frais des gestion" ou autres.

Il n'a donc pas de conflit d'intérêt. Il ne fait pas des recommandations de placements contre une commission.

Les lecteurs reçoivent les conseils de Philippe... et les suivent ou non...

Il ne vend pas non plus d'espaces de publicité pour des marques ou produits de consommation.

Il ne reçoit pas de paiement de la part d'une banque, ou d'un vendeur d'assurances-vie, contre la recommandation d'un produit.

Il ne dépend pas non plus de subventions de l'Etat.

Surtout, il ne fait partie du "club" des journalistes.

Le milieu des conseillers en bourse... des journalistes... et des "intellectuels" ne lui a jamais plu.
Cependant, les plateaux-télé sur la finance et l'investissement l'invitent tout de même de temps en temps...

Il y explique les interventions de l'Etat et de la BCE... avertit des bulles... décrypte les fluctuations de taux et des cours des GAFA (pour "Google, Apple, Facebook, et Amazon")... et remet en cause les conclusions du "mainstream."
Il intervient souvent sur BFM Business, par exemple.

 

ou Sputnik.
 

 ou encore RT.
 

Philippe ne refuse jamais le débat sur un sujet... même avec les journalistes !

Par ailleurs, il recherche en permanence des opportunités... des placements... des informations... dans l'intérêt des lecteurs.

L'abonnement aux messages de Philippe, donne accès aux analyses et aux recherches de Philippe.

Cela donne aussi l'accès aux détails des recommandations de Philippe au fil du temps.

Sa lettre confidentielle arrive dans votre boîte mail une fois par mois.

Et entre deux numéros, Philippe et son équipe vous envoie un email par semaine. Pour vous tenir au courant.

Encore une fois : vous pourrez suivre les recommandations de Philippe, ou pas.

 
L'abonnement à sa lettre, aujourd'hui, n'oblige à rien. Mais permet de prendre le premier pas, sans rien mettre en jeu.

L'importance de la missive de Philippe aujourd'hui.

Philippe rassemble les points et données, et communique des conclusions aux lecteurs, sur les événements en cours en France.

En particulier, il garde l’œil sur :
le dépassement de records dans les actions depuis 9 ans... et les signes d'essouflement du marché...
les risques pour l'économie aujourd'hui... en particulier avec la fragilisation du système en raison de la facilité d'accès aux crédits.
l'engouement des investisseurs et actionnaires pour les "géants" de la tech... et les implications pour les événements à l'avenir.
la concentration des gains entre les mains d'une élite à Paris, à Londres, à New York, à San Francisco, etc.
le débarquement d'une génération de "méga-entreprises" sur la scène au fil des 15 dernières années... avec des records de valorisations en bourse... et l'impact sur le marché aujourd'hui..
le lien entre les actions et les obligations... et le rôle de la baisse des taux dans le gonflement des valorisations depuis 10 ans.
le lien avec l'essor des "startups" à Paris, à Londres, ou à San Francisco.
la signification d'une hausse des taux pour les banques, les boîtes d'assurances, et les investissements.

Philippe garde aussi les yeux sur la santé des marché actions... et les signes de détresse sur les bilans des entreprises.

Cependant, Philippe n'appelle pas à la panique... ni à la liquidation des actifs boursiers.

Bien entendu, Philippe n'a pas de boule de cristal.

Il cherche encore, aujourd'hui, la trajectoire des événements pour le reste de 2018 et au-delà... avec la fin du programme de la BCE en septembre.. et la possibilité du retour de l'inflation ou de l'hyperinflation après les centaines de milliards d'euros d'injections dans le système.

Philippe a un mode de fonctionnement à part.

Philippe n'abandonne tout de même pas les marché actions.

En fait, les actions en bourse occupent la majorité du temps de Philippe.
Pour lui, les marchés actions fournissent toujours un potentiel d'enrichissement.
Philippe leur a consacré presque 30 ans de recherches, d'observation, et d'analyse.

Il a y déniché plus d'une centaine d'opportunités pour les investisseurs au fil des années.

Bref, Philippe n'abandonnera pas les investisseurs même en cas de troubles.

En effet, la plupart des gens ont des placements dans les actions en bourse... soit par le biais d'un courtier... un compte PEA... ou encore une assurance-vie.

Du coup, ils ont besoin de conseils et d'aides en cas de tumulte.

Philippe continuera donc à l'avenir le travail de recherche et de tri... comme il le fait depuis trois décennies.

Il a déjà dédié beaucoup de temps et d'analyses à la préparation pour les perturbations à l'approche...

Il offre désormais des mesures et étapes pour les Français... contre le scénario de la hausse des taux.

Les médias et journalistes chercheront des "responsables" à la chute des marchés.

Ils pointeront du doigt... et soutiendront la version des faits de l'Etat.

Philippe, en revanche, recherche des solutions pour les particuliers... pour les détenteurs de patrimoines ou d'épargnes.

Il n'écrit pas pour les gens de l'Elysée ou de Matignon et n'écrit pas pour les tribunes du Monde ou du Figaro, pour la consommation "de masse."

A la place, il conseille les particuliers, en France, sur des investissements pendant les turbulences en vue.

Dans l'investissement, les médias reflètent l'opinion des masses, surtout parmi les "intellectuels," ou les "experts" de la finance.

Ils recommandent par exemple les fonds dans l'immobilier... ou des placements dans la technologie... ou un contrat d'assurance-vie.

En général, dans le domaine de l'investissement ou ailleurs, les conseils des médias représentent juste les biais de la presse et des journalistes.

Cependant, en investissement, les gains viennent presque toujours de la "marge..." et non du "mainstream."

Qu'est-ce que j'entends par là ?

Eh bien, que le marché suit des tendances... des "modes".

Par exemple, la mode pour la tech aujourd'hui a propulsé à des sommets Amazon, Apple, ou encore Tesla.

En France, Atos a touché un sommet de 1 000% depuis son rebond de début 2009.

Criteo – un algorithme de publicité en ligne – a vu le jour en 2005, à Paris, et vaut aujourd'hui 1,9 milliard de dollars dans la bourse. La boîte emploie 2 700 personnes dans le monde....

Les modes dans l'investissement durent parfois des années.
Les médias y participent... Ils y donnent une certaine crédibilité.
Les actionnaires aiment la "sécurité du groupe."

Avec l'attention des médias, le secteur en vogue bénéficie d'une sorte d'approbation, de validation, par la société.

Un actif "à la marge," par contre, ne bénéficie pas de l'attention des médias.
Il reste dans l'ombre, dans l'inconnu. Peu de gens y font attention, ou en ont conscience.
Pourtant, souvent, un actif prend beaucoup, beaucoup de valeur, en passant de la "marge" au connu.

Les cryptomonnaies en ont fait l'expérience au cours des années 2016 et de 2017.

Au début, les médias n'y faisaient pas du tout attention.

Par la suite, le prix des cryptos a grimpé... et peu à peu, la presse les a repérées.
Ils ont écrit de plus en plus sur le sujet.

Les gens en parlaient désormais devant la machine à café... dans les dîners huppés.... puis à Noël, en famille !

Les cryptos ont tout à coup délaissé la marge... et ont bénéficié d'une forme de validation.
Les médias y ont donné un air de concret, de réel.
Le pic d'attention de la part des médias, en fin de l'année 2017, a coïncidé avec le "gros" de la croissance des cryptos...

En début de 2017, le marché des cryptos pesait 20 milliards d'euros environ.

En fin décembre 2017, il atteignait environ 500 milliards de valorisation.
La moitié de la hausse, donc plus de 200 milliards d'euros de valorisation, a eu lieu entre octobre et novembre 2017...

En effet, les cryptos débarquaient alors dans le domaine des médias... de la presse... des infos.
Par la suite, le Bitcoin a perdu 40%... le marché des cryptos a chuté... le secteur a décampé à nouveau vers la "marge."
Désormais, les médias les délaissent.
Tôt ou tard, les cryptos reviendront à la une des journaux.
De nouveau, le retour coïncidera avec l'envolée des prix.

Au retour des cryptos dans la presse, les journalistes ne parleront peut-être plus de Bitcoin... ni d'Ethereum... mais d'un autre.

Les figures de proue dans les cryptos aujourd'hui – Bitcoin, Ethereum, Monero, ou Ripple – pourraient céder la place à des concurrents. L'avenir nous le dira. Cependant, les modes ne délivrent pas le gros des gains aux investisseurs.

La "marge," cependant, possède des opportunités de gains... car la plupart des gens n'y font pas encore attention.

Les actifs en question comprennent parfois plus de risque... mais aussi, presque toujours, plus de potentiel de gains pour les investisseurs.

Les recherches et analyses de Philippe surveillent la marge... signalent l'apparition de tendances... profitent des mouvements de foule... et décortiquent les modes...

Le cercle des lecteurs de Philippe accepte aujourd'hui des nouveaux.

Avec une équipe de chercheurs et d'analystes, ici dans les bureaux près de la Place de l'Opéra, à Paris, Philippe redouble désormais d'efforts.

Il a déjà déniché des opportunités pour 2018.

La plupart des conseillers en investissement, les types en costumes-cravates à la Défense, ne prennent pas encore au sérieux le danger.

Comme beaucoup de gens, ils suivent plus ou moins les mouvements de foule.

Ils dépendent de l'approbation de chefs, d'employeurs, de pairs, et de la société en général.
Ils font partie de la classe des "professionnels..."
Philippe n'a pas besoin de l'approbation des élites.

Il a du coup beaucoup plus de libertés sur le choix des placements... et beaucoup plus de transparence avec les lecteurs.
Il ne cache rien.
Il n'a pas de conflit d'intérêts.
Il ne facture pas des frais de gestion ou de performance, comme un gérant de fonds.

Cependant, il fournit des conseils sur les placements de l'épargne et du patrimoine.

Il recommande, au moins une fois par mois, une valeur.
Mais attention : il ne fournit pas un "service de trading" sur les marchés actions.

En effet, il a peu confiance dans les systèmes de trading en général, surtout aujourd'hui.

Ils dépendent tous de motifs et de corrélations entre un indicateur – ou un groupe d'indicateurs – et le prix d'un ou de plusieurs actifs.

Cependant, les corrélations changent avec le temps. Avec l'environnement du marché.

Beaucoup des "corrélations" ne tiendront sans doute plus avec la hausse des taux d'intérêts.
Les algorithmes de trading, par exemple, pourraient déraper avec le changement de conditions.
Ils appliqueront des règles de statistique pour des prises de position – avec leviers – mais le marché démolira les prévisions des algorithmes.

Après beaucoup, beaucoup de pertes en peu de temps, les propriétaires des algorithmes débrancheront les câbles...

Or... d'après une étude par JP Morgan en juin 2017... les automates représentent environ 60% du volume d'échanges sur les marchés.

Avec la perte d'une majorité des acheteurs et des vendeurs sur le marché, la volatilité grimpera au plafond !

Philippe suit et recommande surtout des stratégies de fond... des investissements sur des situations et des tendances dans le marché... et non sur les corrélations d'indicateurs.

En raison du choc des taux d'intérêts, la plupart des placements chuteront sans doute à l'avenir...
Philippe n'a pas d'illusions là-dessus.
La "marée" baissera... et tout le monde le sentira.
Cependant, Philippe recommande tout de même une poignée d'actions en bourse aujourd'hui.

En effet, les alternatives aux actions en bourse – en particulier les obligations – comportent peut-être encore plus risques aujourd'hui.

Elles subiront la hausse des taux d'intérêts... ET le risque d'inflation ou d'hyperinflation.

Par ailleurs, l'or et l'immobilier ont toujours un intérêt. En cas d'inflation, ou d'hyperinflation, ils garderont une valeur.

Par exemple, pendant la crise de 2008, le CAC 40 a fait une chute terrifiante de plus de 50%. L'or a perdu juste 20%, en comparaison...

Cependant, l'or et l'immobilier ne garantissent rien... En effet, l'or baissera sans doute, au moins pendant un temps, avec le reste du marché...

En 2008, l'or avait connu un élan à la hausse depuis le début du 21ème siècle... La tendance de l'or à la hausse l'a isolé de l'effondrement des actions.

Aujourd'hui, l'or rebondit un peu depuis 2015... mais, par rapport à 2008, il a moins le vent en poupe.

En effet, en arrivant en 2008, l'or avait auparavant baissé de 1980 à 2001... et donc avait beaucoup plus de potentiel de rattrapage qu'aujourd'hui.

En bref... Philippe garde confiance en l'or... dans les métaux... dans l'immobilier... et dans le "réel..." mais il ne mise pas non plus tout sur l'or ni sur ces actifs.
En revanche, il a beaucoup d'appréhension pour les obligations... et il les surveille désormais de près pour des signes de faiblesse.

Le marché de la dette concerne surtout les banques et les assurances.
Les particuliers en achètent peu, sauf avec le soutien d'un conseiller ou d'une boîte de gestion de patrimoine.
Mais Philippe recommande expressément à ses lecteurs de se tenir à l'écart du marché obligataire pour l'instant.

La situation dans le secteur... avec la perspective d'une hausse dans les taux d'intérêts – après 40 ans de baisse –... présage beaucoup de difficultés pour les obligations.

Les taux d'intérêts décideront sAns doute des fortunes de beaucoup, beaucoup d'entreprises et d'actions en bourse.

Jim Paulsen, stratégiste en chef chez Leuthold Group, a expliqué à CNBC en février :

"Je pense que les intérêts sur les bons du Tésor américains dépasseront les 3 pourcent [contre un peu plus de 2,8 pourcents aujourd'hui]. Je pense même que nous allons toucher les 3,25 pourcents au cours de 2018.

"Si la hausse arrive à 3,25 pourcents trop vite, alors les actions en bourse souffriront..."

Philippe suit la situation de près.
Le lien social souffrira... mais une lumière brille peut-être au bout du tunnel...
Les médias, la presse, les journalistes, et les "intellectuels" mènent en France une guerre de propagande contre les particuliers, contre la richesse et la réussite, et contre l'entrepreneuriat.

Ils présentent une version des faits... un point de vue... une opinion pour tous.

Ils ont des "experts." Avec des diplômes. Des titres.

Ils jouent sur les biais et les inclinaisons des masses.

Ils incitent aux réclamations... aux revendications.

En plus, avec la culture Internet et l'industrie de l'indignation en ligne... les journalistes vont de plus en plus vers les extrêmes... vers les appels à la mobilisation, à l'action.

Les médias avancent des interprétations... et n'autorisent pas la différence de point de vue...

l'élection de Macron en 2017... avec la prise de parti pour le candidat "En Marche".
La prise de parti pour la loi des "35 heures" dans les cercles de la presse... malgré le manque de progrès dans le domaine de l'emploi depuis.

 la vindicte à l'endroit des "riches" au moment du passage de la taxe à 75% de Hollande sur les revenus de plus de 1 million d'euros, l'empoisonnement du débat autour de l'immigration, depuis des années. la condamnation et la dérision pour les sceptiques du rôle de l'Etat... et de la viabilité du modèle de la France aujourd'hui.
Les attaques de caractère sur tant de gens, en raison de différences d'opinion dans le domaine de l'économie... ou du climat... ou des lois sur le travail ou sur la création d'entreprise.
ou encore sur l'éducation des enfants.

Les médias aujourd'hui avancent une idéologie... un programme.

Ils en ont presque fait une religion.
Ils imposent ainsi une pensée pour tous.
Ils attaquent la différence d'opinion, d'interprétation, ou d'idéologie.

En bref, ils n'ont pas du tout l'intérêt des particuliers à l'esprit... mais, plutôt un objectif de transformation du pays, des mœurs, des coutumes.
La remise en cause de l'individualisme... de l'esprit d'entreprise... et de l'originalité de pensée.
Cependant, la perturbation de l'économie changera peut-être les choses.
Pourquoi ?
Eh bien, parfois, lors d'un chamboulement dans un pays... d'une redistribution des cartes...les gens changent tout à coup de vision.

Parfois, comme en Russie au début du 20ème, les gens vont encore plus vers le "côté obscur."

Les gens ont embrassé le collectivisme. Les dégâts ont perduré pendant des décennies.

Cependant, de temps à autres... après un "choc..."
Les gens perçoivent plus d'opportunités... plus de possibilités et ils adoptent alors une idéologie d'entrepreneuriat, de responsabilité, d'autodétermination.

Par exemple, avec la Révolution industrielle en Angleterre au 19ème, la plupart des gens avaient tout à coup accès à beaucoup plus de ressources, de biens, de savoir, et de financement.
La fortune ne venait plus des possessions de terre, comme auparavant.
La distribution de la richesse autour des terres ne permettait pas beaucoup de brassage, de changement.

Les hommes naissaient, vivaient, travaillaient, avaient des enfants, et mouraient sans beaucoup changer de condition... ni même de lieu.
Ils adoptaient une idéologie en conséquent.
Ils valorisaient surtout les alliances... et le statut.
Par la suite, avec les bonds en avant dans le commerce, les transports, et la technologie, les gens avaient beaucoup plus de possibilités...

Les hommes, tout à coup, avaient des opportunités d'enrichissement et de prospérité.
Le changement a tout à coup valorisé l'esprit d'entreprise, l'effort, le travail, et la détermination.
Les gens rejetaient le dogme de l'impuissance, du défaitisme.

Par exemple, des millions de gens ont quitté la France, et ont pris le bateau – en particulier vers les Etats-Unis et le Canada – au 18ème et au 19ème. Ils abandonnaient des idéologies, un ordre des choses. Dans le "nouveau monde," ils ne manquaient ni de travail, ni d'opportunités.

Ils adaptaient aussi les idées et les fonctionnements. Ils privilégiaient la prise de risque et l'entrepreneuriat.
Ils renonçaient pour beaucoup aux histoires de "classe" et de statut de l'Europe. Ils délaissaient les "particules" devant les noms de famille. Le milieu de naissance faisait peu de différence, en termes de fortunes.

Et puis, ils commerçaient et vivaient avec des descendants d'Anglais, d'Allemands, de Néerlandais, ou de Suédois. Ils oubliaient les présupposés sur les nationalités.

Cependant, depuis, le monde a beaucoup basculé en arrière, vers l'idéologie de défaitisme, d'impuissance, et de rancune.

Le retour en arrière vient de l'absence d'opportunité... de la sclérose de l'économie... du blocage des créations d'entreprises... et de la punition de la prise de risque et de l'entrepreneuriat par les lois et l'Etat.

Les gens ressentent la frustration, le manque de récompense pour le travail, l'effort, et l'épargne.

Les journalistes et la presse produisent des cibles, des responsables.

Ils réduisent le tout à une sorte de "lutte" des uns contre les autres. Ils divisent les gens en camps, en fonction de leur lieu de naissance, leur culture d'origine, ou autres.

Ils proposent des mesures, des impôts, des régulations ou des subventions.

Plus de "solidarité." Plus de taxes. Plus de charges pour les créateurs d'entreprises et les employeurs.

L'un nourrit l'autre... et, de plus en plus, le pays ralentit et tombe en arrière.

Vous le sentez ce déclin, depuis des années, non ?
Beaucoup de gens m'attaqueront pour les propos d'aujourd'hui.
Ils ont des croyances sur l'économie et la société... et n'aiment pas la différence d'opinion.
L'existence d'Internet me permet la publication d'un message pour les particuliers en France sans l'approbation des médias ni des journalistes.

Aucun "conseil d'experts" n'a approuvé le message d'aujourd'hui, sur les écrits de Philippe Béchade.

Seul Philippe a lu ce message et m'a autorisé sa diffusion.

Internet a beaucoup de mérite... mais les puissants – dans les coulisses de l'Elysée, de la BCE, et de l'ensemble du système de banques et d'institutions en France – en ont capté les gains...
... à la source. Du coup, les gens ressentent l'impuissance... l'inutilité du travail.

Par ailleurs, ils passent désormais de plus en plus de temps dans les écoles – de la primaire au Bac +5.
Ils n'y apprennent pas l'entrepreneuriat... mais le conformisme... le respect des diplômes et des titres.
Où voulez-vous que tout cela mène ?

 
Philippe Béchade.
 
 
 
- Les écrits et le livre de Philippe Béchade :

Le bateau lève bientôt l'ancre... mais Béchade Confidentiel, la lettre mensuelle de Philippe Béchade, accepte encore des gens aujourd'hui...
L'abonnement au service coûte moins qu'une redevance télé,et vous y lirez moins d'inepties.

Philippe l'a lancé en juin 2017.
Au lancement de la lettre, Philippe a introduit les lecteurs au "trade de la fin de la décennie..." une mise sur un pays en particulier en Europe.

Il y voit un concurrent à l'hégémonie des Etats-Unis aujourd'hui... Il a détaillé les arguments – par exemple, les 1 600 tonnes d'or en réserve dans les voûtes de l'Etat – en faveur de la montée en force du pays en question...

Il a introduit les lecteurs à un placement sur la tendance – pour des gains de 23% depuis lors...

Puis, en octobre, il a dirigé les lecteurs vers des placements "tech" en Europe.
Dont un créateur de jeux sur smartphone à Stockholm pour des gains de jusqu'à 32% en moins de 6 mois et une entreprise de technologie laser à Londres pour des gains de 27%.
Il a aussi tout juste recommandé une action dans la cybersécurité.

A la différence des centaines de startups de la Silicon Valley, le groupe fait des marges de 50% sur près de 2 milliards de dollars de chiffre d'affaire en 2017.

Philippe garde toujours un éventail d'actions en bourse dans les viseurs... mais il attend le signal du "top départ" avant de recommander l'achat aux lecteurs.

Il vérifie d'abord une panoplie de chiffres et de tendances dans le comportement de l'action... dont les moyennes des prix sur 50 jours ou 100 jours... les "canaux" dans le mouvement du cours... les convergences ou divergences et les niveaux de résistance ou de support.

Il a par exemple une action dans le viseur aujourd'hui, dans une entreprise d'analyse de données dans le domaine des smartphones... Le groupe cote sur le marché de Londres et a généré des gains de 422% en 2 ans.
Philippe en a déjà parlé à ses lecteurs... mais n'a pas encore envoyé le signal d'achat. Il attend pour l'instant la confirmation des indicateurs.

Pour un tel niveau de prestation et d'informations, certains ont d'abord proposé un prix d'abonnement d'environ 99 € par mois... soit 1 188 euros pour un an.

Mais après discussion avec les comptables et les membres de l'équipe de Philippe, l'abonnement à Béchade Confidentiel coûtera seulement 97 euros... pour 1 an.

Donc 97 euros pour 12 mois au lieu de 99 euros par mois.
Cependant, il baisse encore plus le prix – juste pour vous, maintenant et ici. Il le réduit de moitié.
L'abonnement coûte donc juste 97 49 euros aujourd'hui.

Béchade Confidentiel coûte donc moins de 30 centimes par jour.
Ce qui vaut moins qu'un billet de métro à Paris.
Pourtant, vous recevrez en plus dès votre abonnement une copie en e-book du livre Fake News, Post Vérités, et Ecrans de Fumée. La valeur des conseils dans le livre vaut déjà de loin le coût de l'abonnement pour 1 an.

En plus, Philippe prépare un dossier de Béchade Confidentiel, une fois par mois. Il y développe en profondeur un sujet en particulier – l'un des thèmes du moment.

Là encore, chaque numéro de Béchade Confidentiel vaut en réalité bien plus que 30 centimes/jour.
Cependant, il n'écrit pas aux lecteurs juste une fois par mois.
Il écrit beaucoup plus souvent.

Il écrit aux lecteurs dès qu'un événement, une tendance, ou un risque apparait sur les marchés.
Il en informe les lecteurs tout de suite.
Il a aussi enregistré le livre Fake News, Post-Vérités, et Ecrans de Fumée en format audio... Vous le recevrez en MP3.
Et puis, il a aussi mis au point des dossiers sous forme de vidéos.

Il y parle des manipulations des médias... et du lien entre la dégradation des médias et de l'émergence de risques aujourd'hui.

Par ailleurs, il offre 90 jours d'essai du service... avec 100% de garantie de remboursement, sans conditions. Il laisse donc 3 mois aux nouveaux.
Si le service ne convient pas, alors vous pourrez vous faire rembourser à 100%.

Un membre de notre Service Clients, ici à Paris, prendra votre appel, ou traitera votre demande par e-mail.
Pour vous fournir un maximum de valeur aujourd'hui avec l'abonnement à Béchade Confidentiel, j'ai travaillé sur un dossier de plus...
La Grande Désagrégation

Le dossier, La Grande Désagrégation, fait une vingtaine de pages... avec plus de détails sur la relation entre les médias et le marché d'aujourd'hui...

Depuis des années, l'essor de l'Internet a engendré des milliards d'utilisateurs, et de plus en plus de transactions, de services, et de commerce en ligne...

La Grande Désagrégation émet des hypothèses sur l'avenir de l'économie... en relation aux tendances dans les médias, dans la technologie, dans le domaine de la politique, dans les monnaies, et beaucoup, beaucoup d'autres...

La Grande Désagrégation relie des points un peu partout dans le monde d'aujourd'hui... entre le commerce... l'informatique... et la dette, par exemple.

En effet, le passage à Internet a apporté beaucoup, beaucoup plus d'utilisateurs, et de lecteurs aux sites web... mais n'a pas du tout bénéficié à nombre des "grands" dans le domaine des médias – du journal Le Monde au New York Times...

Pour moi, cette transformation est l'une des tendances émergentes du 21ème.


 
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